Projet de longue date qui se concrétise enfin : En 1990, le label Cascavelle enregistrait au Victoria Hall Schelomo, Rhapsodie hébraïque pour violoncelle et orchestre d’Ernest Bloch, avec François Guye en soliste et l’Orchestre de
C’est un disque qui semble être affreusement banal, voire un peu désuet. Et pourtant , dès les premières secondes, la magie opère. En effet, le « Prélude et Allegro » de Fritz Kreisler vous captive instantanément. L’entente
Le contrebassiste roumain Petru Iuga livre ici un bel hommage au répertoire chambriste dédié à son instrument. Deux sonates pour contrebasse et piano viennent encadrer deux sonates pour contrebasse seule. La sonate de Schubert D821,
Replongeons-nous au tout début du XXème siècle, et essayez d’imaginer ce que représente l’attribution du prix de Rome à une femme (Lili Boulanger) et le second prix à une autre femme (Nadia Boulanger), quand il
Le concerto pour violoncelle et le concerto pour violon de Schumann font partie des très rares oeuvres que je trouve angoissantes voire terrifiantes pour le concerto pour violon, malgré son dernier mouvement lumineux. Leur histoire
Images éphémères, c’est la contraction ou le mariage de deux œuvres, celle de Claude Debussy (Images) et celle de Philippe Hersant (Éphémères). C’est aussi la manifestation de l’intérêt de la pianiste du Trio Athena et
À l’époque actuelle où le bruit et la fureur remplacent souvent la musique, il faut une sacrée dose d’inconscience et d’humilité pour enregistrer une intégrale des Mazurkas de Chopin, qui plus est, en public et
Songs of Solitude est plus qu’un simple disque, c’est un vrai projet artistique porté par l’altiste Hiyoli Togawa durant la pandémie actuelle. C’est en fait la recherche d’un nouveau rythme de vie qui l’a poussée
A l’écoute d’une voix si pure et cristalline servant de belles mélodies, dont la simplicité le dispute aux paroles, mais si poétiques finalement, je deviens comme un amoureux transi. La chanson « Au couteau » me tire
Cette intégrale de duos pour piano et cordes de Camille Saint-Saëns publiée par le label Ad Vitam fait écho au centenaire de sa mort et s’attache à mettre en lumière un répertoire chambriste, moins populaire
C’est un enregistrement très vivant ainsi qu’une belle prise de son. Même au simple format red book chez Ars, on apprécie le travail de production extrêmement soigné, et le niveau de résolution qui en découle.
Je considère pour ma part que le jazz s’est vidé d’une bonne partie de sa substance depuis une vingtaine d’années. Celle de la constante création et réinvention, celle qui fait du jazz, même sous une
