Noir Lac
Noir Lac est un petit joyau inclassable. Des compositions originales s’appuient sur des sonorités africaines, sur des mélodies et rythmiques progressives et des voix résonnant dans une ambiance monacale… Ajoutez à cela une dualité entre
Noir Lac est un petit joyau inclassable. Des compositions originales s’appuient sur des sonorités africaines, sur des mélodies et rythmiques progressives et des voix résonnant dans une ambiance monacale… Ajoutez à cela une dualité entre
Alors m’éveillerai-je à la ferveur première, Droit et seul, sous un flot antique de lumière, Lys! et l’un de vous tous pour l’ingénuité… Cet extrait de L’après-midi d’un Faune de Stéphane Mallarmé nous renvoie au
Giuseppe Tartini a composé plus de 130 sonates et ce sont celles pour violon et violoncelle qui sont ici à l’honneur. A l’occasion du 250ème anniversaire de sa disparition, le violoniste David Plantier et la
L’instrument d’époque donne forcément un éclairage différent sur ces sonates. Celles sélectionnées dans cet album sont la Pathétique, Clair de lune, La Tempête, Waldstein et L’Appassionata: un beau programme en perspective ! Moins d’opulence sans
Ce quatuor Tchalik fait preuve d’un entrain communicatif. Les deux quatuors à cordes du compositeur français d’origine vénézuélienne sont magistralement interprétés avec un enthousiasme presque trop démonstratif. J’écris « presque »car l’écoute n’en est finalement que plus
L’intégrale des Années de Pèlerinage par un éminent spécialiste de Franz Liszt, joué sur un Steinway ancien de la fin du XIXème siècle, et qui enregistre l’œuvre pour la première fois à 73 ans… peu
Le pianiste et compositeur Johan Farjot nous convie à un programme de pièces courtes, de un à huit instruments (dont « New York City », qui réunit un double quatuor de saxophones). C’est indéniable, cet homme a
Les œuvres de musique de chambre de Philippe Chamouard ne sont pas particulièrement renommées. On retient surtout du compositeur français son travail symphonique, peut-être plus récent que les Oiseaux de solitude, et suite logique de
C’est souvent assez inattendu, car ce répertoire contemporain interprété par un clarinettiste ne rallie pas forcément les faveurs d’une large audience, et c’est d’autant plus remarquable. J’ai adoré : la virtuosité, la qualité de la
S’il n’y avait pas de choix particulièrement radical dans sa précédente intégrale des symphonies de Beethoven, il n’y en a pas non plus dans ce nouveau cycle de philippe Jordan, sauf que cette fidélité à
Un énième opus dédié à la complicité du couple Schumann. C’est la pianiste espagnole Judith Jauregui qui cette fois-ci s’y emploie avec le Concerto en la mineur, suivi des Quasi Variazioni, puis des variations sur
L’Ensemble Saxo Voce et le Quintette du même nom, issu de la même formation, regroupent tous les instruments appartenant à la famille des saxophones (baryton, ténor, alto et soprano) et réalisent des transcriptions d’œuvres connues